mardi 29 mai 2012

La crise de l'Eglise vue par un journaliste chrétien


Le 22 mai 2012, Patrice de Plunkett réagissait sur son « bloc-notes d’un journaliste chrétien » à la publication d’une inquiétante enquête conduite par le diocèse de Moulins par un article intitulé « Crise du catholicisme en France : oui, elle est radicale. Mais qu’on ne se trompe pas de diagnostic[1] ! » L’auteur expose donc tout d’abord le diagnostic qu’il juge faux, puis celui qu’il juge vrai, avant de proposer à grands traits ce qui lui semble être la solution à la crise de l’Eglise.

lundi 21 mai 2012

De curieuses informations dans les « Matinales chrétiennes » de l’hebdomadaire La Vie

Il semble décidément que dans certains milieux les traditionalistes, tout spécialement ceux de la Fraternité sacerdotale saint Pie X, déchaînent les passions, ou du moins suscitent une certaine fascination. Les « Matinales chrétiennes » régulièrement publiées sur le site de l’hebdomadaire « chrétien et humaniste » La Vie en sont un bon exemple, tant il est rare qu’elles demeurent longtemps sans évoquer l’actualité des relations entre Rome et la FSSPX.

Philippe DARRIULAT, Les patriotes : la gauche républicaine et la nation, 1830-1870, Paris, Éditions du Seuil, Coll. L'Univers historique, 2001, 336 p.



Compte-rendu : Philippe DARRIULAT, Les patriotes : la gauche républicaine et la nation, 1830-1870, Paris, Éditions du Seuil, Coll. L'Univers historique, 2001, 336 p.


Philippe Darriulat, né en 1958,  historien, professeur d'histoire-géographie au lycée d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), est aussi un homme engagé en politique : ancien président de l'Union nationale des étudiants de France - Indépendante et démocratique (UNEF-ID), cadre du Parti socialiste, il fait aujourd'hui partie, avec Henri Emmanuelli et Benoît Hamon, du club Un Monde d'Avance  ; il est adjoint au maire du 18e arrondissement de Paris en charge des affaires scolaires et de la recherche.

jeudi 10 mai 2012

Va-t-on donner aux socialistes le droit de modifier la Constitution à leur guise ?

On ne soulignera jamais assez que la Ve République est avant tout un régime parlementaire. La mise en œuvre de la politique voulue par le Président et préparée par son Gouvernement est subordonnée à l’élection d’un Parlement favorable à ceux-ci. Ce n’est qu’une fois cette condition remplie que le rôle du Président prend toute son ampleur, et que celui du Parlement semble, par corollaire, fortement réduit. Ainsi, le Parlement n’est jamais aussi puissant qu’au lendemain d’une élection législative – ce qui est pour le moins paradoxal, puisqu’il n’a voté aucune réforme à ce moment précis. Ainsi par exemple, la réforme fiscale voulue par François Hollande sera à juste titre considérée comme ayant été élaborée par son Gouvernement en cas de victoire des socialistes aux élections législatives. Mais cette dernière condition aura été déterminante : toute défaite, au contraire, empêchera totalement qu’une telle réforme fiscale ne soit mise en place. Elle ouvrirait une période de cohabitation, dans laquelle le Président garde certains pouvoirs, notamment dans le domaine diplomatique, mais ne peut aucunement conduire la politique de la nation.[1]



lundi 7 mai 2012

Réponse à Bougainville

Notre réflexion sur la réconciliation des catholiques ayant suscité une réponse de Bougainville dans Le Rouge et le Noir (http://www.lerougeetlenoir.org/les-opinantes/reponse-a-louis-marie-lamotte), nous nous permettons de lui répondre à notre tour.

L'abbé Philippe Laguérie, supérieur général de l'Institut du Bon Pasteur, célébrant la messe solennelle de la Pentecôte au pèlerinage Notre-Dame de chrétienté